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Défibrillateur : Défibrillateur : quand l’utiliser ? Comment reconnaître un arrêt cardiaque ?

Temps de lecture : 2 min

Plusieurs pathologies cardiaques nécessitent l’utilisation urgente d’un défibrillateur. Quels sont-elles ? Comment les reconnaître ?

 Défibrillateur : comment reconnaître un arrêt cardiaque ?

Les malaises cardiaques nécessitant l’emploi d’un défibrillateur

Le recours à un défibrillateur semi automatique (DSA) ou à un défibrillateur entièrement automatique (DEA) est absolument nécessaire pour répondre rapidement à quatre types de pathologies cardiaques :

  • L’infarctus du myocarde.

Appelé communément « crise cardiaque », l’infarctus est une urgence cardiologique pouvant entraîner le décès de la victime car il cause la mort d’une partie des cellules du cœur. Il intervient lorsqu’une ou plusieurs artères s’obstruent, causant une mauvaise oxygénation du sang.

Pour identifier un infarctus et pouvoir ainsi rapidement mettre en place une défibrillation, le signe le plus commun est une intense douleur ressentie au niveau de la cage thoracique. La douleur se répand alors au niveau des bras, des épaules, de la mâchoire, de la main gauche ou encore de l’estomac.

  • L’arrêt cardiaque.

Il s’agit d’un arrêt soudain de l’activité cardiaque qui nécessite rapidement une défibrillation afin de ne pas engendrer de lourdes séquelles.

On reconnaît un arrêt cardiaque au fait que la victime perd connaissance, reste inanimée et ne réagit pas aux stimuli extérieurs.

  • La fibrillation ventriculaire.

La fibrillation ventriculaire est un trouble du rythme cardiaque qui se traduit par un rythme saccadé, empêchant une contraction normale et régulière du cœur. Elle est la première cause d’arrêt cardiaque. Sans intervention rapide, une fibrillation ventriculaire peut engendrer le décès d’une personne. La victime d’une fibrillation ventriculaire va ainsi perdre progressivement connaissance et entrer en détresse respiratoire.

  • La fibrillation auriculaire

Cette arythmie cardiaque concerne une partie du cœur, les oreillettes ou atrium, qui connaissent alors des contactions désordonnées, chaotiques. Cela peut entraîner la formation de caillots sanguins provoquant par la suite une embolie pulmonaire ou causer rapidement un AVC (Arrêt Vasculaire Cérébral).

Les signes avant-coureurs peuvent être divers : pouls irréguliers, palpitations cardiaques, pression à la poitrine, essoufflement, fatigue, étourdissements, sueurs, nausées… 

Arrêt cardiaque : les premiers gestes

Lorsque vous identifiez de tels malaises appeler les secours est indispensable. Vous devrez ensuite pratiquer dans un premier temps une réanimation manuelle : bouche-à-bouche et massage cardiaque.

Le recours à un défibrillateur est l’étape suivante pour relancer le cœur de la victime.