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Le prix d’une assurance décennale en 2024
Le tarif d’une assurance décennale varie d’un prestataire à un autre. Pour autant, un ensemble de critères entre en ligne de compte. Ils dépendent essentiellement de la situation de l’entreprise cliente.
Comment est calculé le prix d’une assurance décennale ?
Tous les professionnels du bâtiment sont soumis à l’obligation de souscrire à une assurance décennale. Depuis la loi Spinetta de 1978, tout ouvrage réalisé dans le secteur du BTP doit être couvert pendant 10 ans par une garantie décennale. Cette assurance couvre tous les dommages importants pouvant rendre l’ouvrage impropre à l’utilisation ou compromettant sa solidité. Pour cette assurance, il existe un grand nombre de fournisseurs et une très grande gamme de prix. En effet, cette décennale, doit couvrir tous les professionnels du bâtiment, elle comporte de nombreuses garanties possibles et d’options qui varient en fonction de votre corps de métier et des différents assureurs.
Le prix d’une assurance décennale est calculé en fonction de plusieurs éléments relatifs à votre entreprise et à son activité. Ceux-ci sont listés ci-dessous.
Quels sont les éléments constitutifs de l’assurance construction ?
Afin de déterminer, le montant de la prime d’assurance dont vous devez vous acquitter, le prestataire contacté doit prendre en considération des éléments bien précis.
- La taille de l’entreprise : la taille de l’effectif est un des premiers éléments à considérer, car un assureur ne pratiquera pas le même montant de prime pour une EURL sans employé que pour une SA faisant travailler plusieurs dizaines de collaborateurs.
- Le chiffre d’affaires réalisé : plus le CA est conséquent, plus l’entreprise est exposée à des risques et donc plus la prime est élevée.
- La nature de l’activité principale exercée : certains métiers sont considérés comme étant plus risqués que d’autres. Une entreprise de prestation de services paie ainsi une prime moins importante qu’une entreprise spécialisée dans la maçonnerie et le gros œuvre (charpentes, fondations, menuiseries etc…)
- Le niveau d’expérience et de compétences : une entreprise expérimentée n’ayant pas de passif négatif avec une compagnie d’assurance aura des cotisations moins élevées qu’une entreprise plus jeune ayant déjà connu des sinistres par exemple.
- Les procédés mis en œuvre : certaines techniques de construction sont jugées plus risquées que d’autres. A ce titre, les primes peuvent être assez élevées.
- L’étendue souhaitée des garanties : plus les garanties désirées sont nombreuses et couvrent un large champ d’évènements, plus la prime augmente.
Fort de ces informations, l’assureur procède alors à une estimation des risques à couvrir et vous communique le montant des cotisations d’assurance. C’est ensuite à vous de valider le contrat et les garanties que vous désirez.