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Comprendre les bases de calcul des cotisations sociales TNS

Temps de lecture : 6 min

Calcul des cotisations sociales des TNS 

Contexte et importance des cotisations pour les travailleurs indépendants Les professionnels exerçant sans contrat de travail, aussi appelés TNS, participent grandement à la dynamique économique. Ils doivent financer plusieurs systèmes de protection, qui couvrent notamment la santé et la retraite. À ce titre, de multiples contributions leur incombent, dont les charges attachées aux non-salariés sur leurs revenus. Ces prélèvements sont importants pour garantir une couverture en cas de maladie ou pour assurer des prestations familiales. De plus, ces contributions visent à alimenter leur future pension, de sorte que la retraite demeure un filet de sécurité substantiel. Il faut savoir que, dans l’histoire, l’organisation de ces prélèvements a connu plusieurs réformes, notamment dans les années précédentes, pour harmoniser les textes et mutualiser les financements. Aujourd’hui, on parle volontiers de participation TNS aux régimes sociaux là où, auparavant, chaque profession gérait ses règles de façon plus dispersée. Cette évolution reflète un besoin d’équité et de simplification. À l’horizon 2025, de nouvelles adaptations réglementaires sont prévues, portant sur le mode de calcul, le taux de certaines catégories et la modulation des contributions en fonction du chiffre d’affaires ou des bénéfices déclarés. D’ici {year+2}, certains types de revenus pourraient être davantage intégrés à l’assiette de ces contributions. Les impacts financiers diffèrent selon la catégorie d’activité : artisans, commerçants ou professions libérales. En résumé, les nouvelles règles jusqu’en {year+2} visent à sécuriser le système, tout en tenant compte des réalités économiques de chaque secteur.

Méthodologie de calcul des cotisations pour différentes structures Les modes de prélèvement varient selon la structure de l’entreprise et l’imposition choisie. Pour déterminer les sommes dues, il convient de prendre en compte différentes sources de revenus et de se référer aux règles spécifiques en vigueur. L’évaluation de la base utilisée pour calculer ces contributions s’articule généralement autour des bénéfices ou des rémunérations brutes, parfois ajustées par un abattement. Ci-dessous, nous présentons deux configurations majeures : les entreprises individuelles/EIRL et les TNS relevant de sociétés soumises à l’IS.

  • Entreprises individuelles et EIRL

Dans ce cadre, on détermine souvent la somme à acquitter en retenant les bénéfices nets, après déduction des dépenses professionnelles et intégration de l’abattement prévu. Par exemple, un abattement de 26% sur le revenu est actuellement applicable dans certains cas, ce qui peut réduire la part imposable. La démarche englobe aussi d’éventuels compléments, comme les indemnités journalières déjà perçues ou les contributions sociales obligatoires versées sur l’année concernée. Ainsi, le pilotage du montant pour le calcul des contributions TNS dépend strictement du résultat comptable déclaré, auquel on ajoute parfois des postes spécifiques, comme des cotisations complémentaires volontaires. En 2025, le taux de la cotisation d’assurance garantie des salaires devrait rester autour de 0,25%. Les projections indiquent qu’à partir de {year+2}, l’assiette unique pourrait intégrer certaines primes de façon plus systématique. Dans un exemple concret, un entrepreneur ayant 80 000 € de bénéfices, avec un abattement de 26%, verrait sa base fixée en dessous de 60 000 € pour la prise en compte de ses contributions.

CritèreEI/EIRLPrincipales dispositions en {year+2}
Bénéfices imposablesIntégrés après abattementAbattement de 26% préservé
Indemnités journalièresAjoutées à l’assietteMaintenues dans la base
Taux d’assurance garantie0,25%Reste inchangé
  • TNS en entreprise soumise à l’IS

Pour les dirigeants affiliés à une entité relevant de l’IS, la détermination du montant calculé pour la cotisation TNS inclut d’abord la rémunération brute. On y ajoute, le cas échéant, les montants versés à titre de dividendes qui dépassent un certain seuil et sont soumis à cotisations, selon la législation à jour. Par exemple, pour une assiette de 87 000 €, le taux d’assurance maladie pourrait atteindre 7,56% dès {year+2}, provoquant une hausse de près de 920 € par rapport à l’année précédente d’après certaines estimations. Le niveau d’imposition étant lui-même conditionné par la fiscalité sur les sociétés, il est nécessaire de bien distinguer la répartition entre rémunération et dividendes. Les remboursements de dépenses professionnelles ou les contrats d’assurance facultatifs doivent également être incorporés au décompte, tandis que les contributions sociales obligatoires de l’année viennent s’additionner, à l’exclusion de la CSG-CRDS, laquelle est calculée sur la totalité des revenus bruts. Pour mieux anticiper ces exigences, le chef d’entreprise vérifiera régulièrement s’il y a eu modification de la base utilisée pour le calcul, en tenant compte des changements attendus à partir de {year+2}. La comparaison entre plusieurs scénarios permet alors d’arbitrer entre les modalités de rémunération ou de distribution de dividendes, afin d’optimiser la trésorerie et le financement des prestations sociales.

Particularités et innovations du régime micro-social Les indépendants qui ont choisi l’auto-entreprise bénéficient d’une méthode simplifiée pour déterminer leurs participations sociales. Ici, les contributions ajustées à la micro-entreprise se basent directement sur le chiffre d’affaires encaissé, sans appliquer le calcul traditionnel des bénéfices. Ce mécanisme facilite les démarches administratives et constitue un des points clés du micro-social modernisé. Cependant, tout n’est pas forcément avantageux : si le chiffre d’affaires grimpe, les montants prélevés augmentent proportionnellement, et certaines dépenses ne sont pas déductibles comme elles pourraient l’être sous d’autres statuts. Pour {year+2}, on envisage de revaloriser les seuils afin de mieux tenir compte des réalités économiques. Certains taux de prélèvement spécifiques, pour la formation professionnelle ou la retraite complémentaire, s’ajusteront également, ce qui pourrait influer de quelques points sur l’ensemble des taux appliqués. D’après les hypothèses disponibles, les concernés par les cotisations micro-entreprise verront leur régime rester concurrentiel, car il continuera d’offrir une simplicité équivalente pour les déclarations mensuelles ou trimestrielles. Dans l’optique d’une dynamique de croissance, il devient essentiel de mesurer l’impact de ces nouveautés sur les marges, tout en prenant le temps d’évaluer le passage éventuel à un statut plus classique lorsque le chiffre d’affaires dépasse les seuils fixés. Une infographie recensant les évolutions envisagées et les nouveaux pourcentages applicables à partir de {year+2} serait particulièrement utile pour éclairer les micro-entrepreneurs sur leurs futures obligations.

A retenir : réflexions et recommandations pour {year+2} Dans la perspective des prochaines réformes, il est conseillé de préparer son budget et sa trésorerie avec attention afin d’éviter les mauvaises surprises. Anticiper l’évolution probable des contributions sociales passe par :
• Examiner régulièrement sa situation juridique et fiscale pour ajuster la forme de son activité.
• Répartir ses revenus entre rémunération, dividendes et abattements en tenant compte des nouveaux barèmes.
• Se tenir informé auprès des caisses de protection sociale pour connaître les changements tarifaires.
• Utiliser un simulateur ou un expert-comptable dans la démarche d’amélioration des cotisations TNS.
• Évaluer, si l’on est auto-entrepreneur, la pertinence de franchir les seuils et de s’orienter vers un statut plus complet.
À l’avenir, la bonne gestion et l’optimisation des cotisations TNS n'en seront que plus indispensables pour prévoir sa retraite et obtenir des prestations adaptées. Les acteurs du secteur prévoient en effet que les ajustements successifs aboutiront à un système plus cohérent et transparent, à condition de maintenir une veille continue sur la règlementation.


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